

Une boutique, un commerce, une entreprise
Installée dans une belle maison patrimoniale, La Bezotte est un café, un resto et une salle de spectacles, mais avant tout un lieu de vie où peuvent se rencontrer les habitants du village autour de l’art et des produits locaux.
À l’intersection des rues des Forges et du Fleuve se trouve un café qui est aux antipodes d’un simple repaire pour les passionnés de bouffe végane et de café troisième vague. Le Café Frida permet d’échapper à notre train-train quotidien à notre rythme, le temps d’un repas et d’un café… ou deux. Ou trois. Entretien avec la propriétaire Gabrielle Cossette.
En deux mots bien choisis, le nom de l’entreprise réussit à résumer son essence en évoquant à la fois ses volets nourriture et spectacle, ainsi que son identité francophone dans le très bilingue Brome-Missisquoi dans lequel le Beat & Betterave s’est implanté il y a maintenant quatre ans.
Ce qui a débuté par un rêve bucolique d’expatriés montréalais s’est métamorphosé en une aventure florissante gérée de main de maître par la fondatrice Marie-Ève Lejour. Voici donc l’histoire de la Savonnerie des Diligences, une entreprise spécialisée dans la confection de produits écoresponsables dont l’ingrédient de base est, sans l’ombre d’un doute, l’authenticité.
Oreskovich, Petrusich, Maciejewski, Serafinowicz, Ocheduszko… non, vous n’êtes pas en Europe de l’Est. Ces noms sont typiquement abitibiens. La Charcuterie du Nord de Val-d’Or est l’un des derniers endroits où l’on peut découvrir l’héritage culinaire et culturel de ces «fros» venus pour travailler dans les mines lors de la ruée vers l’or abitibienne des années 1920 et 1930.
Depuis 40 ans, le café-bar du Vieux-Hull a ses adeptes. C’est comme une deuxième maison, riche en histoire et en rencontres. Portrait de cet endroit mythique qui a sa place dans le cœur de bien des gens du coin.
Il est minuit et demi et le blizzard souffle sur Kegaska. En pyjama, Ruth ouvre la porte à cinq motoneigistes. La route est fermée, ils arrivent de Blanc-Sablon et n’ont pas soupé. «J’ai des restants puis un divan-lit… Entrez, on va s’arranger.» Bienvenue à la maison, ou plutôt à l’Auberge Brion.
Ou pourquoi les enfants de Granby réclament régulièrement à leurs parents d’aller bouquiner.
Tout est parti d’un métier à tisser récupéré chez un voisin et d’une amitié vieille de plus de 20 ans. En 2005, Marie-Claude Trempe et Evelyne Gélinas lancent l’entreprise Rien ne se perd, tout se crée…, dont l’atelier est installé à Saint-Sévère. Depuis, elles mettent tout leur cœur à habiller les Québécoises.