Abitibi-Témiscamingue

Promenade au Témiscamingue, future destination chouchou des Québécois

Avec un territoire composé à 95 % d’eau et de forêt, le Témiscamingue est l’un des joyaux bruts du Québec. Ici, c’est la nature qui accueille l’humain et non l’inverse, et ce constat décrit à merveille les émotions qui nous habitent lorsqu’on parcourt les routes, les rangs et les vallées de ce territoire champêtre, qui gagne à être connu autant pour sa nature que pour son terroir. Suivez-nous sur cet itinéraire routier!

Le Prospecteur : S’amuser avec son terroir

Remettre le terroir à l’avant-scène et stimuler la fierté des gens de l’Abitibi-Témiscamingue : voilà les fondements de la microbrasserie Le Prospecteur.

Passer par ici

Voici une autre bonne raison de prendre la route pour aller visiter l’étonnante région du Témiscamingue : le dernier né des parcs nationaux du Québec, qui attire déjà les visiteurs et pourrait bien servir de camp de base à ceux qui souhaitent découvrir les rangs et les villages de ce coin de pays qui demeure un secret bien gardé. Et on les comprend : on y trouve des trésors.

La complémentarité pour la communauté

Chaleureux bar-librairie de Rouyn-Noranda, Livresse n’a pas tardé à se tailler une place de choix dans un paysage industriel où se côtoient les cheminées de la Fonderie Horne et une concentration culturelle marquée par de nombreux lieux de diffusion. Retour sur une première année d’existence placée sous le signe de la constante réinvention.

Le retour à la terre de Jacques Michel

En Abitibi-Témiscamingue, le Festival des guitares du monde est l’un des événements culturels phares du nord-ouest québécois. De Joe Satriani à Jacques Michel, c’est une histoire de chaleur humaine, de fierté et d’enracinement régional qui s’écrit chaque année à la fin du mois de mai.

Jouer à la radio

Francis Murphy, Geneviève Béland et Paul-Antoine Martel s’attaquent à la paresse intellectuelle dans leur émission de radio Quand pensez-vous ?, où se côtoient réflexions et rigolade. Rencontre avec trois amis qui refont le monde à la radio, pour le plaisir, à leur façon.  

Tisser des liens par la nature 

En langue algonquine, Kinawit signifie « nous inclusif ». D’abord conçu pour procurer une bouffée d’air frais aux autochtones urbains de la région de Val-d’Or, le lieu s’est au fil du temps doté d’un volet touristique favorisant les rencontres entre autochtones et allochtones. Il embrasse désormais toutes les ramifications qu’implique son nom.

L’or en dessous

En 2011 ont été fondées les éditions du Quartz, maison d’édition abitibienne qui publie des ouvrages variés dans le but de faire sortir des coins sombres les manuscrits oubliés. Toujours régionale mais pleine d’ambition, la maison cherche maintenant à faire sa place dans le panorama de la littérature québécoise. Portrait d’une coopérative qui a le vent dans les voiles.

Culture inclusive

La Cabane permet à tous les nostalgiques de faire revivre un lieu qu’ils ont fréquenté et aimé. L’endroit a abrité au fil des ans l’entreprise pour enfants Pirouette et Girouette, le ténébreux bar Le Dundee ou encore une boucherie, il y a très longtemps. Voilà qu’aujourd’hui, c’est un espace inclusif qui revêt une signification particulière pour chaque citoyen.

Conquérir la Kinojévis

Il y a 40 ans, une gang de hippies du fond du rang 5 a eu une illumination: ils allaient défier les rapides juchés sur des radeaux allégoriques, bâtis sur des chambres à air de chars, pour célébrer la Saint-Jean-Baptiste. Vous le pensez, vous avez raison, ils le savent: ils sont fous.

Multiculturalisme communautaire

Au dernier pow-wow de la communauté autochtone de Lac-Simon, en Abitibi, de nouveaux habits traditionnels étaient visibles au milieu des danseurs. Parmi les couleurs éclatantes et les élégantes plumes des regalias anishinabées, on pouvait découvrir d’amples vêtements aux couleurs tout aussi éblouissantes, celles de boubous sénégalais.

Traditions d’ailleurs, saucissons d’ici

Oreskovich, Petrusich, Maciejewski, Serafinowicz, Ocheduszko… non, vous n’êtes pas en Europe de l’Est. Ces noms sont typiquement abitibiens. La Charcuterie du Nord de Val-d’Or est l’un des derniers endroits où l’on peut découvrir l’héritage culinaire et culturel de ces «fros» venus pour travailler dans les mines lors de la ruée vers l’or abitibienne des années 1920 et 1930.